-Le munster n’a rien d’austère et sa forte personnalité s’est bien accomodée du gewurtztraminer alsacien 2015. Harmonie d’épices et de fruits exotiques (ananas, poivre, cumin, anis, etc.) et longueur en bouche ont électrisé nos papilles.https://www.baumann-zirgel.
-Pause fruitée avec le pinot noir de cet Irancy bourguignon 2014, un jus caméléon qui rend à son terroir ami des cerisiers ses parfums de griotte. Accord originel salivant avec le fromage d’Epoisse (frotté au Chablis) du village éponyme tout proche.
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-C’est avec la cuvée « Grain de Pierre » 2012 que ce merveilleux chardonnay du Jura a révélé toute sa complexité aromatique. Les notes de pomme granny smith, de céléri et noix ont confirmé leur alliance naturelle avec un comté bio affiné 24 mois de chez Marcel Petite.
http://www.cavereinejeanne.
-Ah! ce calendos, ce beau fermier normand, un esthéte à pâte molle et croûte fleurie, un entêtant qui se refuse aux tannins métalliques du vin rouge et s’incline avec panache devant un cidre brut et/ou un shot de calvados.
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-Quant au roquefort Papillon dont l’onctuosité s’exprime le mieux en cette période de l’année, il apprécie un trait de Maury, un vin doux naturel du Roussillon dopé aux zestes d’agrumes et de miel. Autre accord émouvant, un demi-sec du Val de Loire tout en cépage chenin dominé par la poire et le coing.
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